Buenos Aires vue par Rafael

Cette semaine, dans notre rubrique « Buenos Aires vue par les Porteños » (de naissance ou d’adoption), nous laissons la parole à Rafael, fraîchement débarqué dans la capitale argentine depuis son Pérou natal. 

 

Rafael est un étudiant en architecture âgé de 20 ans ; il est péruvien.

 

Depuis combien d’années vis-tu à Buenos Aires ?

Je suis arrivé à Buenos Aires il y a un peu plus d’un 1 an et demi, le 6 octobre 2012 pour être précis.

 

Quelles sont les caractéristiques de la vie à Buenos Aires qui te plaisent le plus ?

Ici tu peux vivre comme tu veux ; personne ne te demande d’explications ni ne porte de jugements. De plus, l’accueil des gens est vraiment agréable à Buenos Aires ; leur « buena onda », facilite considérablement l’adhésion à la société porteña. Sinon, j’apprécie la vie culturelle ici ; les événements sont innombrables.

 

Et celles qui te plaisent le moins ?

Le chaos de la circulation ! Autre point noir, les trottoirs : il faut constamment regarder où tu marches, de peur de tomber, de se faire mal aux pieds ou de se faire éclabousser les jours de pluie.

Source photo : DBI

 

Et puis, je mentionnerais aussi l’absence de la police dans de nombreux endroits peu sûrs. Partout où des policiers devraient être présents, ils n’y sont simplement pas…

 

Noche porteña/ Buenos Aires by night…  Comment décrirais-tu en 3 mots la nuit à Buenos

Folie/ Mouvement/ Jusqu’à l’aube

 

3 lieux de la nuit porteña qui t’enchantent ?

Pour manger une bonne milanaise napolitaine ou une excellente pizza, j’aime un petit resto de quartier à Almagro, qui s’appelle « Los Orientales ».

La nuit, j’aime aussi marcher sur l’avenue Corrientes et arriver à l’obélisque.

J’aime aussi me promener à Puerto Madero et aller sur la Costanera Sur pour manger le classique Choripán.

Ton lieu préféré à Buenos Aires (de jour ou de nuit !)

Les bois de Palermo, de jour ou de nuit, pour aller patiner en rollers et profiter de la nature.

 

En dehors de Buenos Aires, dans quelle ville d’Argentine ou du Monde, voudrais-tu vivre ?

Ou au sud de l’Argentine, ou à Madrid.