31/01/2013
La vie est suspendue à un fil...
Dans les choréographies de Brenda Angiel, la place de l'homme est rarement au sol. Il évolue de préférence sur les murs ou dans les airs, et quand il touche le sol, ce n'est que pour mieux rebondir. Ou pour accompagner dans un pas de deux-à-deux à la fois léger et puissant, un(e) partenaire qui fait le lien entre lui et le ciel.
Jeudi dernier dans le cadre du festival "Verano en la ciudad", l'amphithéâtre Peron du Parque Centenario s'est rempli, de spectateurs et d'élans enthousiastes. Des mises en scène où la vidéo avait le beau rôle démultipliaient les danseurs ou leur offraient un espace de jeu coloré.
Les corps comme des pendules.
Lâchons du lest, prenons notre envol !
C'était sans doute là le dernier spectacle dans un Parque centenario sans grilles extérieures. Il va falloir que la liberté se réinvente dans d'autres lieux. Avec la danse aérienne de la compagnie Brenda Angiel, on se prend au doux rêve d'avoir des ailes...
et de regagner une liberté parfois mise à mal.
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Photos : Isabelle Laumonier
01:41 Publié dans Culture argentine | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : brenda angiel, danse aérienne, verano en la ciudad, festival, buenos aires | Facebook | | |
Commentaires
Ca avait l'air ... "aérien" comme spectacle, toute en légèreté...
Écrit par : Guillaume | 06/02/2013
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