A Buenos Aires, les murs parlent. Mieux, ils crient, ils gémissent, ils dénoncent, ils chantent les louanges, ils vitupèrent, ils illuminent, répandent leur poésie comme des fleuves intarrissables. Graffitis, tags, fresques sont partout dans la ville, tellement présents qu’il arrive qu’on y prête plus attention. Parfois gribouillages chaotiques, proches du vandalisme, et parfois œuvres à part entière, du street art à l’état pur. Les graffitis à « messages » ont connu leur envol après la crise de 2001. Les murs exprimaient alors la colère, le cynisme, l’incompréhension, le désir de vent...
Archives > 2011-12
C'est la nouvelle qui sera sans doute la plus commentée en cette semaine d'entre-fêtes. La Casa rosada a fait savoir que la présidente argentine serait opérée le 4 janvier d'un cancer de la thyroïde . Aucun métastase n'ont été détectés, et les pronostics sont très favorables, ce type de cancer présentant un très bon taux de guérison. Après son opération, Cristina Fernandez de...
S’il est bien connu que l’Argentine est un pays dont l’économie est en partie tirée par la puissance de son secteur agricole (incluant l’élevage) , on imagine le plus souvent d’immenses étendues...
19/12/2011